Bonjour! Je suis Firas Hammami. Je viens de finir mon doctorat en Bioinformatique et Génomique à Aix-Marseille Université, qui est encadré par Elisabeth Remy (Institut de Mathématiques de Marseille, I2M) and Pierre Mandin (Laboratoire de Chimie Bactérienne, LCB).
Je m’intéresse à l’approche de modélisation mathématique (surtout le formalisme logique) et à son application aux systèmes biologiques, dont la régulation de la biogenèse des centres Fer-Soufre chez la bactérie modèle Escherichia coli. Cette approche de modélisation mathématique me permet de mieux comprendre les régulations complexes impliquées dans les processus biologiques, et c’est ce qui me passionne dans tout ça!
Sur ce site, vous allez voir que je suis passionné par deux autres choses: l’enseignement et la création de vidéos. Pour info, j’ai été le fondateur d’une collaboration pour un concours de vulgarisation de la bioinformatique nommé Bioinfuse, où nous avons gagné le 1er prix pour l’édition 2017.
Doctorat en Bioinformatique et Génomique, 2019
Aix-Marseille Université
Master de Bioinformatique, Biochimie Structurale et Génomique, 2015
Aix-Marseille Université
Master en Sciences de la Vie, 2014
Université de Nice Sophia Antipolis
Sony Vegas / After Effects / Inkscape / GIMP
GINsim / MaBoSS
Biologie moléculaire / Microbiologie
Cours: Statistiques pour la biologie -L3 Biologie Cellulaire (96h CM/TD/TP)
Mes responsabilités:
J’ai utilisé l’approche de modélisation logique pour mieux comprendre la régulation de la biogenèse des centres Fer-Soufre en fonction de l’environnement (Fer/Oxygène) chez la bactérie Escherichia coli. Une description complète de ma thèse sera bientôt disponible.
Cours donnés durant ma thèse:
Summary Members of the wnt gene family encode secreted glycoproteins that mediate critical intercellular communications in metazoans. Large-scale genome and transcriptome analyses have shown that this family is composed of 13 distinct subfamilies. These analyses have further established that the number of wnt genes per subfamily varies significantly between metazoan phyla, highlighting that gene duplication and gene loss events have shaped the complements of wnt genes during evolution. In sea urchins, for example, previous work reported the absence of representatives of both the WNT2 and WNT11 subfamilies in two different species, Paracentrotus lividus and Strongylocentrotus purpuratus. Recently, however, we identified a gene encoding a WNT2 ortholog in P. lividus and, based on that finding, we also reanalyzed the genome of S. purpuratus. Yet, we found no evidence of a bona fide wnt2 gene in S. purpuratus. Furthermore, we established that the P. lividus wnt2 gene is selectively expressed in vegetal tissues during embryogenesis, in a pattern that is similar, although not identical, to that of other P. lividus wnt genes. Taken together, this study amends previous work on the P. lividus wnt complement and reveals an unexpected variation in the number of wnt genes between closely related sea urchin species.